Hier soir j'ai participé à café/pot #tuttleparis pour débattre de la promotion ou l'auto-promotion de la marque dans les réseaux sociaux.
J'avoue que l'intitulé m'a gêné. En effet pourquoi associer promotion demarque et réseaux sociaux quand selon moi les réseaux sociaux sont des lieux de rencontres, de conversations de débats mais surtout pas de push produit ou marque qui amène toujours au discours descendant, les tentatives de contrôles et sur-contrôles de l'information. D'ailleurs beaucoup de personnes parlaient e communication et non des conversations.
Mon point de vue est que l'l'entreprise qui souhaite discuter avec ses clients et accepte donc de ne pas engager la conversation en premier et d'écouter, les propos critiques avis déclarations d'amour ou de haine de propsects clients, fans... le fait via une multitude d'outils en irl : n° de téléphone voie postale... en numérique : email forum de discussion ou groupe sur des réseaux sociaux. Je comprends alors que l'entreprie souhaite ajuster ses offres à la demande, ou anticiper les besoins. Bref mieux connaître ses interlocuteurs ou acheteurs.
Le souci c'est de vouloir suivre uen tendance sans vraiment comprendre pourquoi le faire et comment le faire avec finesse. Très vite nous en sommes venus à des travers rédhibitoires touchant les réseaux sociaux et le community manager.
Sur les réseaux sociaux :
Nous avons constaté un écart de qualité et de comportements selon les plateformes. Un consensus établit un côté réglo entendre pro, sur les réseaux sociaux d'origine anglo-saxonne ou germanique ( peu ou pas social spammeur) alors qu'une plateforme francophone voire française est désignée contenant trop de social spammeur d'experts nés de la dernière pluie et des fumistes pour rester dans le langage décent (mais les adjectifs très fleuris furent mentionnés). un point de rupture : la compliation demonologues les prétextesà répondre pour faire l'autopromotion de ses services, les astuces à-deux-balles du personal branling branding. Nous avons pudiquement évacuer les méthodes marketeuses des Olga Svetlana* russes bulgares ou des tigresses exootiques proposant euh des services un peu trop spéciallisés dans ces réesaux-là.
Le point d'orgue avec twitter : la crédibilité du community manager (dans la première décade montante d'internet 1995- 2002 revoir le rôle du modérateur, animateur de forums newsgroups..;) est largement entamé.
Les eRP les agences de comm les webagency, les vrais "faux-amateurs en mon nom mais je te dis pas pour qui je travaille" qui polluent les timelines les socialspammeurs qui mettent en re-diffusion leur twitts (bah non poster sur votre blog etl aisser faire le flux RSS) , les "marques" qui diffusent en descendant mais ne répondent pas à leurs "clients" (en gros c'est du fax ou du mass-mailing mais en 140 caractères un exercice en soi!). Certains vont enfin comprendre le pourquoi-du-comment du "unfollow".
Bref, la récupération du CM, l'usage frileux voire rétrograde des réseaux sociaux (course à la volumétrie, aux stats à présenter aux cleints/aux comité trucmuch, stimuler les ventes, la méthode Coué...) font perdre de vue deux choses :
- pourquoi les réseaux sociaux et le community management,
- quels sont les objectifs
Marques si vous êtes réticentes à parler à vos prospects ou clients, à les écouter vous dire quelques bonnes vérités ou leur désamour dans la vraie vie oublier les réseaux sociaux, le community management. Il y aura toujours des personnes pour parler de vous, pour vous ou contre vous. Marques si vous n'êtes pas capables de garder le silence, ne venez pas sur les réseaux sociaux car il ne faut pas tout le temps parler : une surexposition fatigue soûle et de toute façon le mode grenouille ou perroquet.. Il faut parler à bon escient.
Certains experts ès qualité estiment que le CM c'est comme le plus vieux métier du monde "faire monter le client" ou "servir le proxénète". Pratiquer par certains ou certaines oui.
Pour avoir connue et pratiquant encore - des communautés d'entraide de loisirs, des techos, des scientifiques je relève que toutes avaient un dénominateur commun : entraide et partage de connaissances (KM) et lieu permettant de (re)trouver de spersonnes partageant des valeurs collaboratives et altruistes (pas de démarchage commercial déguisé, ni placement de produits). J'y ai découvert et pratiqué la cooptation. L'intégrisme de management communautaire persiste. Il peut aussi quelle que soit la plateforme survivre à l'avalanche pubarde. A chacun de faire ses choix de réseaux sociaux à valeur ajoutée réelle. En irl ou en numérique.
*Les prénoms ont été modifiés, toute ressemblance....
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